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vendredi 28 novembre 2014

Toninho Horta Djavan 1989


1989. Pas loin de la fin. Marcel Roby. 1ère puis Terminale. L'internat. Le dernier lait fraise près du Babyfoot. Le lait chaud du matin qui garde l'odeur et le goût de la soupe de la veille. Ou du lendemain. C'est la même. Elle tient la distance, surtout en hiver. Entre 2 internements, il y a ces colos en Corse. L'époque est à l'écoute via un walkman double entrée de Djavan mais aussi de Toninho Horta. 2 chemins qui se valent en allant vers le ciel, vers ces retours d'Afrique, plus jeune, où depuis le hublot je reste fasciné, hypnotisé par la ligne blanche, étincelante, de ce qui m'appelle déjà et dont je ne maîtrise pas encore le langage, ses rudiments.    


Quand je les écoute ces 2 là, mon coeur retourne au choix dans les couloirs inhospitaliers de Roby ou sur les plages rassurantes de Calvi. Nulle part ailleurs.

   

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