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jeudi 29 janvier 2015

Rocky. Abidjan. 1979


Ambiance de quartier dans le Brooklyn pauvre au coin d'un feu de nuit. Voix profondes, comme des incantations, qui poussent l'âme, entraînent les corps et donnent envie nous aussi de claquer les doigts et de hocher les tête en rythme... Toute l'authenticité, l'humanité brute de Rocky est dans ce morceau.

Rocky, c'est aussi le 33 tours à Abidjan qui me fait poser des questions à mes parents - je n'ai alors pas vu le film. Il a existé Rocky ? Il a gagné le match ? ""Non mais sa défaite vaut une victoire"... C'est à peu de choses près ce que je ressentirai un peu plus tard en 1982 lorsque la France perdra contre l'Allemagne. Une défaire qui prépare toutes les victoires à venir;. Parce que ce jour-là, cette équipe de France aura rendu sa fierté, son honneur, ses valeurs à tout un peuple. On ne mesure jamais les bienfaits d'une défaire, d'une injustice aussi cruelle soit-elle.

Quant à Rocky que je découvrirai plus tard, la BOF de Bill Conti est toujours celle que je cite dans mes Bandes Originales préférées. Un sommet. Inégalable. 



    

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