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dimanche 8 septembre 2019

Djib and the Bangas mars 2020



La première image ? Seul à Paris, sur le square. les filles m'ont fui vers Montréal. Je repeins l'appartement. Nuit d'avant la nuit d'avant, me suis ouvert le tibia sur le piège mortel des lames de rasoir qui émaillent le pot de peinture quand le couvercle est à peine déposé.

Fin de droits, fin de monde, on se réinvente. 

J'aime revivre quand c'est chose possible. J'ai aussi remarqué que la musique l'air de rien est souvent dans le coup de ces renaissances. Et ce fameux jour, je suis à 24 heures d'un rendez-vous important sur le plan professionnel. Je suis assez zen en fait et FIP FM a pris possession des lieux comme souvent quand tout va pour le mieux dans le plus aimable des mondes. Il y a soudain ce truc qui résonne... Tank and the Bangas !

Au départ tu décolles et tu sais jamais pourquoi, c'est une expérience issue d'un mystico-traffic des sentiments par le truchement de l'âme. En apparence, c'est du rap tissé de voix féminines qui se veulent héritières d'un rap viril et rugueux. Puis, non c'est peu à peu un génie funkadélicieux from New-Orleans qui se fait jour à travers les fêlures de l'engin pas si caricatural pour finir (comme j'ai pu le penser à la première écoute).

Comme souvent, j'ai mené ma petite enquête exploratoire sur le web et rapidement trouvé ces bonheurs pour mes oreilles.


Tank and the Bangas. Ma vraie découverte de ce début d'été 2019. Un concert était prévu fin mars 2020 pour l'nniv de Djib mais la Covid19 est passée par là. Partie remise !