Nombre total de pages vues

Rechercher dans ce blog

lundi 1 mars 2021

Tous les nuances de Sunshower. 2012. Découvert pendant ma "retraite" Urtoise

 Première image ? Cette pluie de soleil dans l'appartement square Bolivar. Côté cour intérieure. Mon palmier et mon cocotier s'y sentent tellement bien. Ils poussent sereinement et se régalent de la chaleur du radiateur, se laissant caresser par les fantastiques rayons du soleil de décembre.



C'est souvent ainsi au royaume de la musique. Au commencement des commencements, il y a un coup de foudre, un choc sensoriel qu'aucune explication rationnelle ne peut (ni ne veut) étayer. Cette fois, c'est en découvrant la version originale de Sunshower (Ron Carter).


Sa force tellurique suffit à déclencher un mécanisme souterrain qui met en branle le moteur - impossible à localiser -  d'une démarche incontrôlable et psychotique. Traduction dans les faits ? Obsessionnel, je me sens investi, habité lorsque bien malgré moi je commence à chercher comme des poux dans l'inextricable chevelure de mes femmes dans les rayons du passé pour retrouver de nouveaux échos amoureux, autant d'ondes sensuelles nées de cette expérience unique. Une quête éperdue je vous dis.

Voici un premier florilège d'autres interprétations, bains de soleil musicaux et régénérants qui permettent de mieux apprécier les nuances, les aspérités, les contradictions merveilleuses du thème original. Ma douche de soleil à moi !




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire