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vendredi 6 août 2021

Et si c'était ça la vie... Les bougres de l'an 2000.

La première image ? Un feu de joie, sorte de feu de la Saint jean dans la région de Tours. Pleine cambrousse. La campagne dans les naseaux. Quelques mois après un voyage au Brésil. Fin d'été. Pas loin de la nouvelle année. De la si redoutée année 2000.

La sono bat son plein. On se remplit la jeunesse d'El Pampero (Gato Barbieri) et de Scatrap Jazzcogne (Bernard Lubat).


Ainsi va la vie d'ici bas. Chacun n'y faisant plus rien, même plus son âge. Lubat, la vie, quel homme.

Découvert grâce à Juju pendant nos années Lilloises. Il est donc revenu en grâce dans mes oreilles juste avant le Bug annoncé de l'an 2000. Justement lors de ces vacances jujuesques. On en avait fait tout un flan et l'informatique à l'époque, elle balbutiait sévèrement. Moi je rentrais d'un beau voyage et je me remplissais l'âme de ce morceau, Indifférence, qui me suit partout depuis.

Eternel apprenti, apprenant fou, furieusement débutant, débattant des batteries. L'homme est là, assis devant, l'aventure est là. Lubat et Minvielle éclairent le chemin de la création poétique, de l'art qui va sans dire, sans efforts.   

Rois du jus de mots jamais pressé, mais imprégnant nos sens jusqu'à s'en taper le coquillard.

Deux coquins va... Deux coquilles pleines et bien faites. Bertrand et André. Comme des amis de toujours. Impayables ! Incorruptibles ! Imputrescibles ! 

Merci les copaingues. Le passage de l'an 2000 ce qu'il m'en reste c'est vous 2 (3 avec Juju).




   

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