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jeudi 12 août 2021

Michel Jonasz forever. Le tempo de tes criquets m'accompagne depuis 1981.

La première image ? Le crépis fou-fou de la maison d'en face. Cocody. J'ai commencé à écouter Jojo au début de mes années 80. Abidjan. Il y avait à cette époque la coupe du monde de foot qui commençait (je dirais 82). Le couple de voisins (français) se séparait. Lui était fan de Jonasz, je me rappelle bien. Probable qu'il écoutait souvent je veux pas que tu t'en ailles. Elle a quand même fini par mettre les voiles.Lui était un bon pongiste aussi. On avait joué l'été au Pays Basque. Ils avaient 2 filles à peu près de mon âge. Très charmantes. Souvenirs de premiers moments dans un lit Urtois, peau contre peau. Naissance du désir. 

J'adorais alors Lucille. J'aimais aussi que le tempo de ses criquets m'accompagne. Quel hymne à l'amour, sans cesse renouvelé, revisité, réinventé.


Plus tard je suis tombé en adoration devant le Live au Palais des sports (son plus grand son plus beau, son chef d'oeuvre en LIVE)  et son merveilleux Uni vers l'uni. 1986. Année faste de nos "éveillements" aux joies finies de la réalité quand vous ouvrez mirettes, écoutilles, et réalisez enfin. Sur ce minuscule grain de poussière. Que nous voilà ensemble.
 

Bref dans toutes les époques de ma vie, il est toujours là. Il me cajole les sentiments. Il me maintient en vie. Sacrée prouesse. les incommensurables vertus de la poésie , du poète nous murmurant tout bas sa vérité de l'âme. Notre transformation. On se balade dans l'atmosphère. Sur une sphère. 

Merci Jojo :) Evidemment surnage l'indépassable Les fourmis rouges. En toute saison. Ma plus grande chanson d'amour de tous les temps. Tu te rappelles, on s'était couché...  


Nous voilà ensemble.

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