Nombre total de pages vues

Rechercher dans ce blog

jeudi 21 octobre 2021

Mon Brel de confinement 2020

La première image ? L'appartement silencieux, contaminé par le silence de la ville. L'appréhension sourde. L'immersion du fantastique dans nos vies étanches. 

Quand il est venu le confinement, on était fébrile, personne n'était prêt. Je me souviens de ces impressions d'entrer dans un film d'anticipation par le menu. Ce fameux Pitch qui ramène les villes champignons à l'état sauvage. Des espaces ouverts privés de ses habitants. Le retour annoncé des animaux à la place qu'ils ont occupé de toute éternité.

De quoi renforcer le désir d'auto-destruction chez certains humanoïdes désassociés convaincus que tout ce qui vient de mal dans ce monde vient de l'homme (possiblement blanc, hétéro, et épris de puissance matérielle).

Mais heureusement, il y a Brel, on se console (c'est ce qu'on écoutait souvent au début du confinement) en écoutant le grand Jacques qui réconcilie soudain toute oreille, toute attention, toute intention, toute vie  avec le genre humain !      




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire