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dimanche 19 décembre 2021

Malher

La première image ? Oliver Reed cheveux et sourcils rasés en train de se consumer sur la croix... Allez comprendre ! 

Mais moi je sais, J'ai découvert Ken Russell dans mes petits cinémas d'Art et d'Essai autour de la Sorbonne. Les Diables. Film en tout point extraordinaire. Divin Ken Russell. Par la suite j'ai découvert d'autres films dont Tommy et Mahler. C'est ainsi que de fil en aiguille, j'ai découvert les symphonies de Monsieur Mahler et ce que j'ai découvert m'a subjugué.





 

  

Cotton Club. Francis Coppola

La première image ? Ma chambre d'ado fin des années 80. J'écoute en boucle cette BOF. J'ai beaucoup aimé le film. A cette "poque Richard Gere a le vent en poupe. Coppola entre dans une phase plus tranquille. Parmi ses films quelque peu oubliés, il y a toutes ces pépites accouchées dans les années 80. Peggy Sue s'est mariée, Tucker, Jardins de Pierre et naturellement Cotton Club. La BOF (j'avais le 33 tours) de ce dernier m'a accompagné dès 1985. Une atmosphère qui réchauffe, le sentiment de se voir transmettre tout un pan de l'histoire de la musique Outre-Atlantique... Revigorant, régénérant !    


  




dimanche 5 décembre 2021

Azadi. Routine matinale. Novembre 2021

La première image ? Le petit déjeuner de Léana. je lui mets cette musique tous les matins. More. More. More. More...

Par hasard, ce live à la nuit des récompenses du Jazz me passe dans les oreilles. Duo Lavilliers Linx sur du Léo Ferré. J'apprécie, je trouve à ce David Linx une grâce, un sens du rythme qui peut me rappeler mes grandes heures à déguster du Al Jarreau ou du Kurt Elling Live.

Et puis je tombe sur Azadi. Simple efficace en apparence, terriblement addictif si l'on veut y prêter l'oreille encore et encore. Une écoute attentive me donne envie de le faire découvrir à Léana 5 ans depuis peu. Et bien, elle kiffe. Vous le croyez ? Depuis, c'est un rituel le matin au réveil pour lui mettre la pêche ! Jazz sans frontières aux vertus incommensurables.          



You must believe in spring 2004

La première image ? Nocturne. Eclairé des loupiotes, des enseignes ensorcelantes. J'entre dans ce café d'où j'ai entendu depuis le trottoir qu'un concert de jazz y donnait du bonheur à un parterre d'âmes attentives. Je m'installe au hasard et je tends l'oreille.   

La nuit... Tant de rencontres sur le trottoir. Dans une autre vie entre la fontaine Saint Michel et Odéon, début des années 2000 entre le Canal Saint Martin et Colonel Fabien. Tant de rencontres qui vous ensorcellent, vous donnent la chair de poule, bien au chaud dans ces ventres-cafés où la musique résiste, s'élève, vous pénètre et perpétue la vie d'hier et de demain.

j'ai un de ces fameux soirs de déambulations solitaires rencontré Mademoiselle C. Belle histoire gâchée par mes soins. C'est ainsi. Un album qu'elle m'aura fait découvrir, Bill Evans, un auteur, Romain Gary, et nous avons essayé de dégager ma voix d'outre tombe sur le morceau qui peut-être me nourrit le plus à l époque : Nature Boy. Elle au piano, moi à la gorge.. Et de tous ces moments fluets, graciles, la couleur enveloppante, la musique est là, toujours.

Vous pouvez toujours courir !