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dimanche 19 février 2023

Otis Redding 1991


La première image ? Un bizutage dans le parc de Sceaux ou pas loin, là où j'étais allé voir Madonna en concert quelques temlps plus tôt (1987) .Je suis alors en prépa. je suis venu avec mon double album Rhythm & Blues


Otis, c'est peut-être le plus grand. Il avait tout. Et à 27 ans, comme ça, comme l'étoile filante, il a rayé le ciel pour s'y repaître, pour mieux nous éclairer. Depuis là-haut il n'ignore aucune âme, aucun village aussi petit soit-il.



Mes premiers souvenirs remontent depuis ces années prépa HEC, le double album Rhythm & Blues.  Puis naturellement ce sera la Volvo 460L noir et gris métallisé (464) automatique en souvenir de Tonton Jean, et de ses blessures Marocaines. De celles qui ne se referment jamais. Arraché comme on peut l'être à sa moto, son métier, à ses amours, à sa vie d'avant. Puis courir les abattoirs pour se donner l'illusion de se régénérer, une vie de sang frais de cheval et d'amour lyophilisé...      

Otis, ça reste Fa fa fa fa fa fa ... C'est These arms of mine, C'est Try a little tenderness, c'est For your precious love, c'est lui et c'est nous. La façon dont il nous cueille.




Il faiut revoir ce dicumentaire qui raconte tout ce que sa voix charrie d'émotion, de puissance, de fragilité, de justesse... Plus un chant, une prière, une supplique.... Divin.

https://www.franceculture.fr/emissions/les-nuits-de-france-culture/otis-redding-lhomme-aux-larmes-dans-la-voix-0?fbclid=IwAR1Kk7BFY3T8ZBQwl3diFxHehQHXlxhlfbNSm0r882HpYvhtjn81dY-1DhE

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