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mardi 30 avril 2024

Can't hide love. 1986. 2022. De Vélizy à Bolivar

La première image ? Au petit matin. Une course aux aurores autour des Buttes Chaumont. Un réveil tranquille suivi d'une marche à pas de velours vers l'ordi dans la cuisine du 6 square ou la machine à écrire (voire le minitel) du 60 rue de Villacoublay... Ces moments là sont précieux, ils sont pour soi. Rien que pour soi. Ces moments où "l'amour tu ne caches plus" !

Demain, tiens, justement, tu peux courir, lève-toi tôt.

Tu as fait ce qu’il fallait aujourd'hui : aquarium ou lessive, course Léana.

Tu es présent pour la Banque, le prêt et le futur déménagement.

Quelques réglages sur les impôts, les papiers, les factures mais tout va se mettre en place.

Il y a les jeux, krankil, les albums (être patient), les formats TV (j’ai confiance).

Restera le court métrage, le sport, et URT URT URT URT URT… Ne pas négliger la maison de ton papa qui n’attend que toi.

jeudi 25 avril 2024

Mots de tête


La première image ? Du super 8 surgi d'Abidjan, années 80. Madeleine sonore. Proust n'est jamais loin. Suffit de tendre l'oreille.

Il faut s’écouter comme ce matin. Maux de tête. Ca ressemble à un retour de flamme des apnées plus tard… Une famille d’apnées pas sympas qui viennent me faire des câlins. Elles se rendent pas compte que ça m’étouffe…  Et pourtant je le mérite l’amour c’est ce que je me dis quand je lis « Atelier d’écriture », pour retrouver sa « voie » de vie.

Hier épuisé, sous la douche, j’ai commencé mon "one man" rêvé… Le monde du travail est sympa à croquignoler (éléments de langages, le chiffre, bulldozer, mettre la paquet...), les cousins ecolo-vegan aussi… Les tics de langage c’est quand même énorme… De PAPY LEO au CONSULTANT qui marche par itération… STRAT et BIZ DEV… Y a vraiment de quoi faire… Faut juste se poser… Le côté wtf naïf de ISMO me touche… Il y a un côté nounours avec du bon sens…

Développer deux trois sketches…. En partant de ce que j’ai déjà pondu. En toute humilité. S’inspirer de PROUST (Gaspard) … Simple, décomplexé sans la dialectique sociale pour venir empoisonner l’humour de jugements forcément partiaux. Ca doit le faire… Faut remettre au goût du jour ces idées… et travailler un enchaînement de situations qui fasse sens.

 Parallèlement retrouver tes projets de courts métrages et avancer sur l’un d’eux… POLITIQUE ? Why not… Le plus intéressant peut-être. Sur la mythologie qu’on crée de soi, à partir de soi. De ce qu’on est, de ce qu’on voudrait être, de ce qu’on aurait voulu devenir, de ce que fait qu’on nous regarde… Se faire des cicatrices au feutre… et se sentir plus digne, plus vieux, plus sage, plus aimable.

Pour le court, soit la nana sanguinaire à la voix d’ange… Soit le pamphlet sur le moi qui serait une construction, encore plus sur un écran, dès lors qu’il est question de politique.

vendredi 19 avril 2024

Trouver sa voix

 

La première image ? Cette voix qui est un instrument. Docile, caisse de résonnace d'une âme pure dans un corps dévasté. Ô Chet. Ton corps c'était ta prison. Ta voix notre remise de liberté.

Les prisons qu’on érige en pensant se libérer. Voilà où mène le Phosphénisme et ses petites vérités rassurantes. Comme les écolms de Yoga régnant sur des centres cossus et nécessitant l’argent comme carburant, le phosphénisme ou les théories vaseuses du tout qu’on embrasserait depuis soi ne mènent qu’à soi. Interprétation, formation  et  Bizinesse… Toujours revenir à ce constat sans appel : rien ne ressemble plus à un ascète qu’un bobo hypocondriaque et autosatisfait qui prend soin de ses petites joues rebondies, de son teint, de la souplesse de sa musculature de tout ce qui vient nourrir son petit corps dodu. Gaffe à la confusion entre « se libérer de son soi » et « y revenir par le biais de l’ego ». 

A propos de voix, Manches Longues (projet avec Juju) peuvent être racontées par une voix off mystérieuse… Quel personnage ? Quel point de vue ? Ce mystère vient créer un liant à ces récits entrecoupés post explosion. Kadima ?

Qu’est-ce qui fait de Nanga un personnage aussi déterminé, omnipotent, aux multiples visages ! Le fait qu’il soit double ? 

mardi 2 avril 2024

Les portes ? 2024

La première image ? L'internat toujours. les Doors c'est pas vraiment les années 80. Mais ma mère et ma tante les écoutaient beaucoup. Et puis il y a eu le film de Stone en 1987 je crois. Vu à Vélizy. pas vraiment aimé ! Film quelconque mais quelle musique. 


Parmi les projets à ne pas lâcher ces temps-cis, il y a des nouvelles qui forment un recueil. Pas vraiment le fameux « Contes et légendes du square Bolivar » qui est fin prêt. Quelques contes à peaufiner… A créer… Comme le MOUTON DE MINUIT. No… Plutôt dans la mouvance « Histoires à dormir sur le ventre » qui fait écho au « sous la couette », position de protection ventrale… Quand on a peur quoi…En gardant cet ancrage, cette filiation Maupassantesque (La Maison Tellier), Flaubertisque (3 contes) ou Johnsoniste (Jesus Son) voire Wrighteous (Going native)… Faut trouver le lien entre chaque nouvelle que l’une d’elle soit l’œuvre de l’auteur du recueil qui veut ramener à la vie son meilleur pote et co-auteur… C’est dans cette veine que tu tireras le meilleur de « ROMAN VILLE » ? En essayant de rendre le lecteur intelligent… Certains auteurs de nouvelles racontent des histoires, les ont vécues, d’autres les écrivent, les inventent… Certaines histoires ouvrent des portes sur d’autres histoires…

Et quand on parle de portes... En voici quelques unes mémorables.