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vendredi 19 avril 2024

Trouver sa voix

 

La première image ? Cette voix qui est un instrument. Docile, caisse de résonnace d'une âme pure dans un corps dévasté. Ô Chet. Ton corps c'était ta prison. Ta voix notre remise de liberté.

Les prisons qu’on érige en pensant se libérer. Voilà où mène le Phosphénisme et ses petites vérités rassurantes. Comme les écolms de Yoga régnant sur des centres cossus et nécessitant l’argent comme carburant, le phosphénisme ou les théories vaseuses du tout qu’on embrasserait depuis soi ne mènent qu’à soi. Interprétation, formation  et  Bizinesse… Toujours revenir à ce constat sans appel : rien ne ressemble plus à un ascète qu’un bobo hypocondriaque et autosatisfait qui prend soin de ses petites joues rebondies, de son teint, de la souplesse de sa musculature de tout ce qui vient nourrir son petit corps dodu. Gaffe à la confusion entre « se libérer de son soi » et « y revenir par le biais de l’ego ». 

A propos de voix, Manches Longues (projet avec Juju) peuvent être racontées par une voix off mystérieuse… Quel personnage ? Quel point de vue ? Ce mystère vient créer un liant à ces récits entrecoupés post explosion. Kadima ?

Qu’est-ce qui fait de Nanga un personnage aussi déterminé, omnipotent, aux multiples visages ! Le fait qu’il soit double ? 

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